Belgique

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Casque Modèle 95

Fiche

  • Dénomination : Modèle 95 (Schuberth B826).
  • Destiné à une utilisation au sol.
  • Coiffe constituée d'un bandeau de cuir et d'un filet montés sur une armature en plastique.
  • Jugulaire en toile fixée en trois points à système de fermeture rapide.
  • Camouflage : couvre-casques.
  • Autres : modifications apportées au fur et à mesure de la production.
  • Fabriqué à partir de 1995.
  • Distribué à partir de 1995.
  • Pays d'origine : Allemagne.
  • Période d'utilisation : de 1995 à aujourd'hui.
  • Matériaux : fibres d'aramide.
  • Poids : 1500 g.
  • Taille : 4 tailles.
  • Couleur : vert olive.
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Historique

L'adoption du casque Schuberth B 826 par l'armée belge à partir de 1995 prend son origine avec l'apparition de casques en matière composite à travers le monde, principalement aux Etats-Unis et en Espagne, ce qui poussa l'Allemagne a effectué ses propres recherches afin de remplacer les casques dépassés issus de la lignée du Modell M1A1.
L'Allemagne, dans l'économie de marché international que nous connaissons aujourd'hui, orienta ses recherches sur des casques composites existants déjà au sein des quelques armées ayant abandonné le casque en acier jusque là fabriqué.
Les recherches furent menées par les sociétés allemandes VDN/Busch et Schuberth helme, qui s'orientèrent directement dans l'utilisation de matières composites telles que les fibres de kevlar et les fibres aramides. Ces sociétés exportaient depuis les années 50/60 des casques modèle 51 pour le compte de l'ABL.
Dans un premier temps, les recherches furent conduites sur un changement de matériaux pour la fabrication du casque allemand Modell M1A1, dont en résultent des essais effectués par VDN de casques de type M1A1 en matière composite avec coiffe de type "Cradel" ou "Riddel" US.
La société Schuberth s'orienta vers une forme nouvelle fortement inspiré du casque OR 201 israélien, munie d'une coiffe en cuir de type "Innenausstattung" FJ60 (aménagement intérieur FJ60) avec jugulaire trois points reprise du casque M1A1, pour donner le casque d'essai modèle B1. Ce modèle d'essai fut modifié pour ne reprendre que le cuir du casque M1A1, complété d'un disque amortissant les chocs et une jugulaire trois points aboutissant au modèle d'essai B2. Enfin, ce modèle fut modifié au niveau de la bombe en élargissant les cotés au niveau des oreilles à l'instar des cotés élargis du casque PASGT américain, donnant ainsi un troisième modèle d'essai, désigné comme B3. C'est ce dernier modèle qui aboutira à la création du casque modèle B826.
Du coté de la société VDN/Busch, la forme du casque M1A1 fut rapidement abandonnée et les recherches s'orientèrent vers une forme proche du casque PASGT américain, aboutissant ainsi aux modèles d'essai A 01 fabriqué en fibre aramide, A 02 en fibre aramide doublé d'une coque en acier, puis le modèle A 03 en fibre aramide dont l'intérieur est doublé d'acier et enfin le modèle type 11 de conception proche du A 03 mais sans jonc en caoutchouc.
Ainsi, tout comme l'Espagne avec son nouveau casque MARTE I, l'Allemagne adopta aussi une forme proche du casque PASGT américain, lui-même hérité du casque allemand de la seconde guerre mondiale, lui donnant le surnom de casque "Fritz".
De ces recherches résultent deux casques issus des usines VDN/Busch et de la société Schuberth helme :
    - Le casque B34 A1, de la société VDN/Busch, caractérisé par une forme proche du casque PASGT, est fabriqué à partir de fibres d'aramide noyées dans de la résine phénolique, le tout formé à haute pression dans un moule. La coiffe de ce casque d'essai est de type "Cradel" US, et la jugulaire trois points est reprise du casque M1A1.
    - Le casque B826, de la société Schuberth helme, de conception proche du modèle B34 A1 dans un premier temps dans sa version B1. Ce modèle sera rapidement modifié pour donner naissance à la version B2 avec la création d'une coiffe révolutionnaire montée sur une armature en plastique souple, hérissée de tube de cette même matière, permettant ainsi à cette armature d'épouser parfaitement la bombe du casque et de se déformer progressivement en cas de choc violent, diminuant ainsi grandement le risque de trauma crânien, risque souvent négligé dans la conception des casques du 20ème siècle.
La version B2 est aussi équipée d'une jugulaire en trois points munie d'une mentonnière et d'un système d'ouverture rapide et un autre point de dégrafage.

Modèle 51.
Modèle 51.

Ces deux modèles furent donc mis à l'essai au sein de la Bundeswehr, mais très vite le choix se porta sur le B826 produit par la société Schuberth, compagnie fondée dans les années 20 dans l'état du Brunswick. Aujourd'hui, la société Schuberth emploie environ 400 employés, et produit 1.5 million de casques de sureté par an destiné à des domaines variés comme la sécurité, la construction, l'armée (fournit notamment 65 armées à travers le monde), mais aussi des casques de protection personnelle comme des casques de moto.
C'est ainsi que la société Schuberth fournit au début des années 90 un lot de casques B826 au contingent belge des troupes de l'ONU dans le cadre de mission OTAN afin de remplacer leurs anciens modèles 51 inadaptés aux opérations extérieures, dans le cadre de l'intervention de l'ONU dans les Balkans qui a précipité le besoin d'un casque plus opérationnel au sein de l'armée belge.
Ayant reçut l'approbation de ce contingent de soldats, l'intendance belge décida d'adopter le casque B826 à partir de 1995, le désignant comme modèle 95 et ainsi la société Schuberth continua à fournir l'armée belge en casque.

B826. B826. B826. B826.
B826. B826. B826.

Constitution

La coque :

Vue avant.
Vue avant.
Vue de coté.
Vue de coté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Vue intérieure.
Vue intérieure.
Marquage Schuberth.
Marquage Schuberth.
Tampon de contrôle.
Tampon de contrôle.
Marquage fabricant.
Marquage fabricant.
Etiquette patronymique.
Etiquette patronymique.

La coque du casque modèle 95 (B826) est fabriquée en quatre tailles à partir de fibres d'aramide (dérivé du kevlar) tissées et noyées dans de la résine phénolique, le tout formé dans un moule à haute pression.
Sa forme est très similaire au casque PASGT américain, mais sa silhouette est moins prononcée lui donnant ainsi une forme plus arrondie.
L'intérieur de la bombe est peint de couleur vert olive, et l'extérieur est recouvert d'une fine couche de plastique parfaitement lisse contrairement aux fabrications destinées à l'Allemagne et aux Pays-Bas.
La coque est ensuite percée à trois reprises pour la fixation ultérieure de la coiffe et des trois passants de jugulaire.
La bordure de la bombe est bordée d'un jonc en caoutchouc monobloc ou jointif à l'arrière, devant résister à une traction de 0.8kg selon le cahier des charges.

Enfin, on trouve les inscriptions du fabricant sur un des décrochements internes au niveau des oreilles et il semble que la société Schuberth produise la majorité des casques B826 pour l'exportation. Ainsi, les casques, destinés à l'ABL et fabriqués par la société Schuberth helme, ont un marquage apposé par tampon à l'encre blanche. Les inscriptions du fabricant reprennent la raison sociale de la société ayant produit le casque, la date de fabrication, le numéro de nomenclature (précédé de la mention SAE pour Service des Achats Equipements Textiles et Cuirs sous-division de la SGA : Service Général des Achats) et enfin la taille du casque, le tout précédé de la mention ABL pour les casques destinés à l'armée Belge.
Une autre particularité des casques destinés à la Belgique est la présence d'une étiquette patronymique, collé au coté opposé au marquage fabricant, destiné à noter le nom du soldat et portant la mention "Nom" en langue flamande "Naam" et française.

La coiffe :

Ensemble vis/écrou.
Ensemble vis/écrou.
Autre type d'écrou.
Autre type d'écrou.
Armature coiffe.
Armature coiffe.
Vue de coté.
Vue de coté.
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Support latéral de fixation.
Support latéral de fixation.
Support arrière de fixation.
Support arrière de fixation.
Support bandeau de tour de tête.
Support bandeau de tour de tête.
Réglage bandeau de tour de tête.
Réglage bandeau de tour de tête.
Bandeau de sudation en cuir.
Bandeau de sudation en cuir.
Rembourrage en mousse.
Rembourrage en mousse.
Détail fixation revers.
Détail fixation revers.
Détail fixation face.
Détail fixation face.
Marquage taille.
Marquage taille.
Réglage filet.
Réglage filet.

La coiffe est fixée dans la bombe en trois points en même temps que les trois passants de jugulaire. Le montage de la coiffe s'effectue à l'aide de trois vis et écrous dont la vis existe en deux versions, la premier à tête circulaire à deux pans se vissant à l'aide d'une clé plate, la seconde parfaitement circulaire se vissant à l'aide d'une clé Allen.
L'écrou est constitué d'un tube dont l'intérieur est taraudé, la tête de l'écrou est circulaire et se serre à l'aide d'une clé Allen.
La coiffe est constituée d'une armature complexe en plastique de couleur vert kaki. Cette armature est composée de multiples morceaux de plastique clipsés ensemble pour former une trame semblable à une "toile d'araignée" couvrant l'intégralité de l'intérieur de la bombe. Les éléments en plastique composant l'armature sont parcourus à l'extérieur de fin tube de plastique assurant le contact de la coiffe avec l'intérieur de la bombe. Ces tubes permettent en cas de choc de mieux amortir la déformation du casque en contact direct avec la coiffe.
Le montage de cette armature dans le casque est effectué grâce aux trois pattes trouées réparties aux trois tiers de la base de la coiffe.
Le maintien sur la tête est assuré par un bandeau en cuir monté sur un cerclage en plastique réglable sur 5 centimètres dont une extrémité est parcourue de deux lignes de trous et l'autre extrémité comportant 2 rangés de 3 picots se fixant à l'autre extrémité.
Ce cerclage de plastique est maintenu à l'armature en plastique à l'aide des languettes de plastique réparties sur le cerclage s'insérant dans les fentes réparties sur la base de l'armature et se coinçant, après passage dans l'armature, au niveau de la base de l'armature grâce à son extrémité échancrée. Ce système de fixation permet ainsi au bandeau de tour de tête de flotter dans l'armature et de s'adapter à la forme du crâne de par sa flexibilité.
La bande de cuir est maintenue au cerclage plastique grâce aux multiples fentes pratiquées sur les deux longueurs du bandeau. Ces fentes servent à maintenir le bandeau sur le cerclage grâce aux picots répartis sur ces deux longueurs. Le dos du bandeau de cuir est couvert d'une fine bande de mousse collée afin d'amortir la rigidité du plastique face à la faible épaisseur du cuir.

Marquage armature.
Marquage armature.

Le marquage taille est noté sur la bande de cuir par un tampon à l'encre utilisant une lettre (S, M, L ou XL) contrairement à une unité métrique comme sur les casques d'utilisation allemande. La taille est d'ailleurs mentionnée à l'arrière de l'armature de la coiffe lors du moulage des pièces de plastique.
Le maintien en profondeur de la coiffe est assuré par un filet maintenu de manière fixe à l'avant et réglable à l'arrière par le même système que le cerclage. Le filet est par ailleurs maintenu de chaque coté en deux points.

La jugulaire :

Passant arrière.
Passant arrière.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
Passant latéral.
Passant latéral.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
Liaison mentonnière.
Liaison mentonnière.
Mentonnière - face et revers.
Mentonnière - face et revers.
Jugulaire.
Jugulaire.
Système de fixation - ouvert.
Système de fixation - ouvert.
Revers système de fermeture.
Revers système de fermeture.
Système de fixation rapide - fermé.
Système de fixation rapide - fermé.

La jugulaire, ayant une topologie en trois points, est maintenue aux trois passants de jugulaire fixés avec les trois vis maintenant la coiffe.
Les passants latéraux sont constitués d'une boucle métallique de forme carrée dans laquelle coulisse un arrêtoir à base plate permettant de fixer solidement la jugulaire par tension, et permettre aussi le réglage rapide de la jugulaire en relâchant la tension de l'arrêtoir en pressant celui-ci.
Cette boucle est fixée à une bande de toile forte en nylon par couture, qui est elle même rivetée à un autre morceau de toile forte en nylon au bout duquel est pratiqué un trou renforcé d'un rivet creux pour être fixé en même temps que les vis latérales maintenant la coiffe.
Il existe une autre variante de fabrication des passants latéraux où la bande de toile maintenant le passant de jugulaire est remplacée par une bande métallique dont l'extrémité est percée pour sa fixation. Le passant de jugulaire maintenu à un bout de toile est collé et riveté à cette bande métallique.

Le passant arrière de la jugulaire est simplement constitué d'une fine boucle métallique dans laquelle coulisse la bande arrière de la jugulaire.
Cette boucle est simplement maintenue par couture à une forte bande de toile de nylon dont l'extrémité est percée et renforcée d'un rivet creux, dans lequel passe la vis arrière fixant la coiffe dans la bombe.
La jugulaire, fabriquée en toile forte en coton de couleur vert, est composée de deux parties, la principale est le corps de la jugulaire et la seconde partie est la mentonnière qui est solidaire de la jugulaire sur sa partie droite, constituant une caractéristique des casques B826 destinés à l'ABL. Le corps de la jugulaire est composé des deux bandes de toile destinées à être maintenues aux passants latéraux et enfin la longue bande de toile réglable à l'aide d'une boucle à double passant coulissant dans le passant arrière.
La partie arrière de la jugulaire coulisse dans la partie possédant le système de fermeture et se referme sur elle-même par boucle à double passant de réglage.
Le système de fermeture rapide est constitué d'un bouton pression enrobant une pièce métallique faisant la jointure de la partie latérale gauche de la jugulaire et la partie arrière (à noter que le dos de cette partie plastique est doublé d'une fine couche en tissu afin d'adoucir cette partie en contact direct avec la peau du soldat). Ce bouton pression en plastique vert clipse la partie métallique de la mentonnière, qui se relâche par pression de ce bouton, sur lequel est noté "PRESS".

Le camouflage additionnel :

Couvre-casque Jigsaw.
Couvre-casque "Jigsaw".
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Fixation.
Fixation.
Vue à plat.
Vue à plat.
Détail fixation.
Détail fixation.
Etiquette et bande velcro.
Etiquette et bande velcro.
Différentes nuances du schéma de camouflage jigsaw.
Différentes nuances du schéma de camouflage jigsaw.
Modèle sensiblement différent.
Modèle sensiblement différent.
Etiquette et bande velcro.
Etiquette et bande velcro.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.
Autre fabricant.
Autre fabricant.

Dès l'adoption du casque modèle 95 par l'ABL, un couvre-casque fut mis au point reprenant le schéma de camouflage adopté par l'armée belge.
Ce schéma de camouflage, désigné comme "jigsaw" arbore les couleurs vert, jaune/ocre, rouge/brun, et noir, entre lesquelles peuvent apparaissent de légères trainés blanches, qui correspondent à un défaut d'impression de la toile, qui apparut lors des premières fabrications, et qui fut tout de même conservé.
Le couvre-casque pour modèle 95 est constitué de trois morceaux de toile cousus longitudinalement et dont la base est parcourue d'un élastique pris dans un ourlet cousu sur toute la circonférence du couvre-casque.
Le maintien sur le casque est assuré par cet élastique et est complété par trois pattes de toile à velcro destinées à être passées dans le cerclage plastique de la coiffe.
Chaque couvre-casque présente l'étiquette du fabricant indiquant la raison sociale de celui-ci, la taille du casque pour lequel est destiné cet artifice, la nomenclature, l'année de fabrication, la composition du textile et enfin les indications de lavage.
On note comme fabricant les sociétés SEYNTEX, BIMEXCO NV, N.V LEGRAND, et MICHIELSENS. On peut noter entre quelques fabrications des différences notables quant à la trame du textile employée ou encore au niveau des couleurs utilisées pour l'impression du camouflage.

Modèle ONU.
Modèle ONU.
Vue à plat.
Vue à plat.

Sur la même base que le couvre-casque "jigsaw", un couvre-casque bleu fut créé pour le compte des troupes sous mandat onusien. Ce couvre-casque est fabriqué de manière identique au modèle présenté plus haut, hormis que la toile employée dans sa fabrication est bleu ONU.
On note aussi des fabrications présentant le signe de l'ONU (UN pour United Nation) brodé de chaque coté du couvre-casque.

Pour le compte des commandos de l'air de l'armée de l'air belge, un couvre-casque fut mis au point reprenant le camouflage "Flektarn" allemand. Ce couvre-casque, dont la conception reste identique aux autres modèles de couvre-casque en usage dans l'ABL, afin d'harmoniser les uniformes de ce corps d'armée adoptés au début des années 2000.

Modèle Flektarn.
Modèle "Flektarn".
Vue à plat.
Vue à plat.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.
Modèle marine.
Modèle marine.
Vue à plat.
Vue à plat.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.

Calqué sur le modèle ONU, un couvre-casque bleu marine fut introduit pour la marine et la gendarmerie.

Un couvre-casque de couleur beige fut fabriqué de manière identique au couvre-casque destiné à la marine ou la gendarmerie, dont nous ignorons à l'heure actuelle sa destination et son utilité précise.

Couvre-casque beige.
Couvre-casque beige.
Vue à plat.
Vue à plat.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.
Couvre-casque Desert Jigsaw.
Couvre-casque "Desert Jigsaw".
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Vue à plat.
Vue à plat.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.
Autre face.
Autre face.

Introduit en 2004, le camouflage "jigsaw" désert fut mis au point sur la base du camouflage "U.S. 3-color desert camouflage" (camouflage DCU : "Desert Combat Uniform") pour les troupes évoluant en environnement désertique.
La conception de ce couvre-casque est copiée sur le couvre-casque du troisième type que l'on rencontre sur le casque modèle 95 hollandais (B826) quasiment identique au modèle 95 belge.
Ce couvre-casque est fabriqué à partir de trois morceaux de toile camouflée cousus longitudinalement, dont la bordure est munie d'un jonc en caoutchouc noir, profilé en "U" et cousu à l'intérieur du couvre-casque, afin d'être inséré sur la bordure du casque.
La surface du couvre-casque est munie de bandes élastiques beiges cousues à intervalle régulier, dont une bande est cousue sur la circonférence du casque, puis les autres disposées en "Y" au dessus du couvre-casque.
Ces bandes ont pour but d'ajouter des éléments de camouflage supplémentaire sur le casque.

En complément d'un couvre-casque et pour les zones tropicales, une moustiquaire est disponible pour le casque modèle 95. Cette moustiquaire est constituée sous la forme d'une housse composée de tulle verte dont la base est parcourue d'un lacet réglable à l'aide d'une pièce de plastique.
Cette moustiquaire s'utilise directement sur le casque en couvrant le visage du soldat et se serrant à la hauteur du cou.

Moustiquaire.
Moustiquaire.
Vue à plat.
Vue à plat.
Etiquette fabricant.
Etiquette fabricant.
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