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Casque Modèle 45 TAP

Fiche

  • Dénomination : Casque d'entraînement au saut Mle 45.
  • Destiné à l'entraînement des troupes aéroportées.
  • Caractéristique : amélioration du casque motocycliste Mle 33.
  • Coiffe en toile, avec bandeau en cuir rembourré.
  • Jugulaire en cuir, fixée en 4 points.
  • Fabriqué à partir de 1945.
  • Distribué à partir de 1945.
  • Pays d'origine : France.
  • Période d'utilisation : 1945 à début des années 50.
  • Matériau : aluminium.
  • Poids : 917 g.
  • Taille : 3 tailles de bombe (54/56, 57/59, 60/62), 9 tailles de coiffe (54 à 62).
  • Couleur : kaki ou brun.
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Casque modèle 45 premier type.

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Casque modèle 45 second type.

Historique

Une instruction du ministère de l'air du 20 octobre 1936, initie la création des Troupes Aéroportées Françaises, le 1er Avril 1937, sous le nom d'Infanterie de l'air.
Deux groupes sont mis sur pied : le 60lème GIA à Reims et le 602ème à Baraki (Algérie). Ils font partie intégrante de l'armée de l'air. Chaque groupe comprend à la fois, une escadrille destinée à la mise en place sur les objectifs et une compagnie d'infanterie de l'air. La doctrine et l'enseignement sont russes, inspirées des grandes manœuvres de Kiev en 1935. L'instruction est révolutionnaire pour l'époque, entraînement physique poussé, développement de l'esprit d'agressivité, et de l'esprit d'initiative.
Mai 1940, l'offensive allemande se déclenche. L'infanterie de l'Air organise la défense de plusieurs villages sur la Loire, puis fait mouvement vers Marseille-Marignane. Le 23 juin elle embarque pour Oran, puis pour Alger où elle est dissoute le 27 juillet 1940.
Armée de l'air oblige, la coiffure adoptée est le serre-tête antichoc de personnel navigant, de marque Zinszner, en majorité de type Airaille 11 (avec 2 L) ou Guéneau de type Airaile 11 (avec un seul L).
En mars 1941, la Compagnie de l'Air, rassemblant les hommes des 601ème et 602ème GIA, est reconstituée à Oued-Smar près d'Alger. Elle prend le nom de Compagnie de l'Air N°1, puis Bataillon de chasseurs parachutistes N°1 et en 1943, 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes (RCP). Il est entièrement équipé à l'américaine et intègre la 82ème US Airborne. Il sera engagé dans les Vosges en 1944 avec la 1ère Division blindée.
Pendant ce temps, l'efficacité des parachutistes allemands, lors du déclenchement de l'offensive de mai 1940, n'a pas échappé au général de Gaulle. Il crée, par ordre général N° 765 du 29 septembre 1940, la 1ère Compagnie d'Infanterie de l'Air des FAFL.
Le 1er janvier 1942, l'unité devient le French squadron de la brigade SAS (Special Air Service) du major Stirling. En 1944, les SAS français sont renommés 2ème et 3ème RCP.
Le 15 août 1945, les 3 RCP sont transférés définitivement à l'Armée de Terre. Les 2ème et 3ème RCP vont bientôt fusionner pour former un unique 2ème RCP.
Issues au départ de l'armée de l'air, les unités parachutistes ont été rapidement intégrées à l'armée de terre. Elles vont être réparties dans l'ensemble des composantes de l'armée.
A cette époque, le 2ème RCP issu des SAS porte le casque britannique Mark II AT, le 1er RCP équipé à l'américaine est muni du casque M-1 C. Les casques de cuir type 11 d'avant guerre, servent encore pour l'exercice. Il est décidé de créer un casque spécifique pour l'entraînement au saut.
Divers essais de modification de casques existants sont effectués, dont un casque développé autour d'une bombe de casque Mle 33 de motocycliste. Une petite série est réalisée avec une nouvelle coiffe rembourrée comportant un fond de 5 sangles en V réunies par un lacet et renforcé par une croisée de sangles en toile forte. Des bavolets de cuir perforés de 7 trous, protègent les oreilles. Un bourdalou de cuir rembourré entoure la base.

Défilé des GIA, avant-guerre.
Défilé des GIA, avant-guerre.

Ce casque va donner naissance au casque d'entraînement au saut Mle 45, qui sera fabriqué en deux temps :
Un premier type utilise des bombes prélevées sur la chaine de fabrication des casques Mle 33/41. La coiffe renforcée est conservée et une jugulaire 4 points, croisée à l'arrière, est substituée aux bavolets. Le bourdalou rembourré est supprimé.
Rapidement un 2ème type reçoit une pièce de cuir supplémentaire au niveau des oreilles pour les préserver des suspentes. Les bombes en aluminium sont désormais embouties spécialement.
Ce casque sera utilisé jusqu'au début des années 50 en métropole. En Indochine, on s'oriente sur des casques de toile dans la lignée des casques d'entraînement anglais. Tous ces équipements seront remplacés par le casque Mle 50 connu sous le nom de Guéneau.

Casque Zinszner Airaille type 11.
Casque Zinszner Airaille type 11.
1er casque réalisé à partir d'une bombe Mle 33.
1er casque réalisé à partir d'une bombe Mle 33.
Vue intérieure.
Vue intérieure.
Casque précoce.
Casque précoce (voir ci-dessus).
Préparation militaire 1951.
Préparation militaire 1951. © amicaleparalorraine
Embarquement dans un Toucan (Ju 52).
Embarquement dans un Toucan (Ju 52). © amicaleparalorraine
Casque personnalisé.
Casque personnalisé.
Gros plan.
Gros plan.
Utilisation par Fernandel dans un film célèbre.
Utilisation par Fernandel dans un film célèbre.
Préparation d'un saut d'entrainement.
Préparation d'un saut d'entrainement. © C. Sorgius
Casque d'entainement au saut Mle 45 type 1.
Sur les deux photos l'ensemble des paras est équipé du casque Mle 45 premier type.

Constitution

La bombe :

Vue avant.
Vue avant.
Vue de coté.
Vue de coté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Bombe nue, vue avant.
Bombe Mle 33 nue, vue avant.
Vue de coté.
Vue de coté.

La bombe est celle du casque Mle 33 motocycliste. Elle est emboutie en une seule pièce dans de la feuille d'aluminium de 16/10èmes. Elle affecte la forme d'une sphère surhaussée et ovalisée à la base. Une moulure de section semi-circulaire, de 7 mm de large, en fait le tour à 22 mm de la base, formant un jonc. Le bas de la bombe est perforé de deux séries de trous décalés en quinconce. Ils ont un diamètre de 3 mm et sont espacés de 20 mm. Ces trous serviront à passer le fil qui coudra la coiffe.
Deux paires de trous de 4 mm, distants de 55 mm, situées à mi-courbure à l'avant et à l'arrière, assurent la ventilation.
Quelques bombes des premières fabrications, ont été prélevées sur la chaine de fabrication des casques Mle 33/41. Certaines comportent les fentes d'attribut qui, inutiles, sont orientées vers l'arrière.
Les bombes sont produites en trois tailles, susceptibles de recevoir chacune trois tailles de coiffe : 54/56 ; 57/59 ; 60/62.

La coiffe :

Faute de documentation d'époque et notamment de notice de fabrication émanant de l'Intendance, nous avons examiné les casques dont nous disposons, de tailles 54, 55 et 57. Chaque taille de bombe peut recevoir trois tailles de coiffe, que nous qualifierons de petites (54, 57, 60), grandes (56, 59, 62) et intermédiaires (55, 58, 61).
Pour les coiffes de chacun de ces groupes, l'épaisseur du rembourrage est identique. Nous pouvons le constater, ayant deux coiffes du même groupe (54 et 57). On constate également, y compris à l'examen de photos d'autres casques, qu'il y a deux modèles différents de rembourrage.
La coiffe se compose donc d'un fond et d'un bandeau, le tout est fixé à la bombe par une solide couture passant par la couronne de trous périphérique.

Vue intérieure.
Vue intérieure.
Tampon amortisseur.
Tampon amortisseur.

Le fond.

Un renfort de cuir est collé sur l'avant de la bordure de la bombe, afin de protéger le visage du coupant de l'aluminium.
Trois couches superposées assurent la protection du crâne ainsi que le maintien du casque en profondeur :
    - Un tampon de toile caoutchoutée est collé au fond de la bombe. Il a la forme d'un ovale se prolongeant par un trapèze qui va en s'élargissant rejoindre, indifféremment, soit la bordure avant du casque, soit la bordure arrière.
    - Une croisée de deux sangles de forte toile est tendue au dessus du fond de la bombe suivant les axes, longitudinal et transversal. Elles ont 40 mm de large et sont fixées, par couture, sur la base perforée.
    - Enfin le fond de coiffe proprement dit est formé par 5 rubans en "V" de 20 mm de large, fixés de la même façon à la base perforée et dont les pointes se rejoignent au centre. Un lacet ou un ruban étroit permet de les resserrer plus ou moins afin de régler la profondeur. Ils sont répartis de la façon suivante: un à l'avant, deux sur les cotés et deux à l'arrière.

Le bandeau.

Il comprend le rembourrage, dont l'épaisseur varie en fonction du tour de tête à obtenir et une bande de cuir de sudation, venant au contact de la tête.
Le premier modèle de rembourrage se compose d'une bande étroite de caoutchouc alvéolé, de 5 mm d'épaisseur et de 20 mm de largeur, faisant le tour de la base de la la coque.
Puis viennent plusieurs bandes superposées. En allant vers le centre, on trouve: une bande de toile caoutchoutée, une bande de forte toile gommée, une bande de caoutchouc alvéolé de 5 mm d'épaisseur (pour les tailles intermédiaires). La largeur du rembourrage est de 45 mm. La bande de caoutchouc alvéolé, porte un tampon indiquant la taille.

1er modèle de coiffe, couture du cuir et du rembourrage sur la bombe et rappel de la taille (55).
Premier modèle de coiffe, couture du cuir et du rembourrage sur la bombe
et rappel de la taille (55).

Le bandeau de sudation en cuir, a une largeur de 85 mm et son bord supérieur vient se remplier sur le haut du rembourrage. L'ensemble est cousu sur la base perforée de la bombe.

2ème modèle : seuls le feutre et le rempli du cuir sont cousus.
Second modèle : seuls le feutre et le rempli du cuir sont cousus.

Le cuir est pris dans la couture par son seul rempli de façon qu'il puisse se rabattre librement sur le rembourrage et masquer la couture. Au vu de ce qui est fait sur le 2ème modèle de rembourrage, on peut supposer qu'il y a deux bandes de caoutchouc pour les petites tailles, et aucune pour les grandes.

2ème modèle : vue de champ.
Second modèle : vue de champ, les bandes de caoutchouc sont collées entre elles et sous le bandeau de cuir.



Le second modèle de rembourrage se caractérise par le fait que le rempli du cuir de sudation, le recouvre entièrement et se trouve en contact avec le métal de la bombe.
On trouve ainsi, en allant de la bombe vers le centre du casque, l'extrémité du rempli et une bande de feutre gris, de 45 mm de large et 5 mm d'épaisseur, maintenues par une couture sur la base perforée. Les extrémités des sangles et rubans du fond de coiffe sont pris dans la même couture, sur le feutre et non plus contre le métal.
Deux bandes de caoutchouc alvéolé (pour les petites tailles), sont collées sous le cuir de sudation. Elles sont doublées de toile légère sur un coté. Elles sont collées entre elles.
L'ensemble est ensuite rabattu sur le feutre. Comme pour l'autre modèle de rembourrage, ceci laisse supposer qu'il n'y a qu'une bande de caoutchouc pour les tailles intermédiaires et surement aucune pour les grandes.

Couture arrière des sangles de coiffe sur le feutre.
Couture arrière des sangles de coiffe sur le feutre.
Sur cet exemplaire, le tampon amortisseur se prolonge vers l'arrière.
Sur celui-ci, le tampon amortisseur se prolonge vers l'arrière.
Bande de caoutchouc alvéolé, coté toile et coté peau.
Bande de caoutchouc alvéolé, coté toile et coté peau.
Casque du 1er type avec rembourrage du 1er modèle.
Casque du 1er type avec rembourrage du 1er modèle (ce n'est pas systématique).
Casque du 2ème type avec rembourrage du second modèle.
Casque du 2ème type avec rembourrage du second modèle (ce n'est pas systématique non plus).

Le système de jugulaire :

1er type.

Le casque est maintenu sur la tête par une jugulaire à mentonnière et par deux sangles croisées à l'arrière. Chacune des branches de jugulaire est fixée à la base perforée par deux rivets tubulaires à tête bombée, tandis que les sangles arrière le sont par un seul rivet identique. Dans la chronologie du montage, ce système est fixé avant le bandeau, qui vient recouvrir les rivets.
La base du casque est in fine recouverte d'un bourdalou de cuir fin, de 15 mm de large, qui masque les têtes de rivets et les fils retenant la coiffe.

Fixation de la jugulaire.
Rivets de fixation de la jugulaire et fils retenant la coiffe.
Fixation des sangles arrière.
Rivets de fixation des sangles arrière et fils retenant la coiffe.

La jugulaire se compose de deux sangles de cuir, de 24 mm de large et de 20 cm de long, dont les extrémités s'élargissent sur 3 cm, pour former une patelette arrondie, mesurant 4 cm dans sa plus grande largeur. A sa base est cousu un passant de cuir de 8 mm de large.
Au sommet de la patelette, est cousue une sangle de 6 cm de long sur 2 cm de large, suivant un angle de 45° vers l'arrière. A son extrémité est enchapée une boucle à rouleau à un ardillon de dimension 20 x 25 mm, munie d'un passant. Elle est destinée à recevoir la sangle arrière.
Au centre de chaque demi-jugulaire, est cousue une autre sangle à bouts arrondis, de dimension 80 mm x 2mm, pliée en deux pour former une enchapure. Celle de gauche retient une troisième boucle similaire aux latérales, destinée à la mentonnière. Sur celle de droite, cette sangle retient deux anneaux, formant une boucle à serrage rapide.

Vue intérieure des rivets.
Vue intérieure des rivets.
Vue intérieure des rivets.
Vue intérieure des rivets.
Demi-jugulaire gauche.
Demi-jugulaire gauche.
Demi-jugulaire gauche, envers.
Demi-jugulaire gauche, envers.
Demi-jugulaire droite.
Demi-jugulaire droite.

Les deux sangles arrière, sont rivetées à 7 cm l'une de l'autre et se croisent librement sur la nuque. Elles mesurent 23 cm sur 24 mm de large. L'extrémité, affinée à 2 cm sur une longueur de 7 cm, est appointée et reçoit 4 trous séparés de 15 mm. Elle peut ainsi se boucler sur la jugulaire et se régler.

Sangles arrière.
Sangles arrière.
Extrémité amincie.
Extrémité amincie.
Jugulaire et sangle arrière bouclées.
Jugulaire et sangle arrière bouclées.

La mentonnière enfin est constituée par deux ovales de cuir de dimension 9 cm x 5 cm, cousus l'un sur l'autre. Deux coutures dans l'axe, lui donnent une légère forme en cuvette. Les extrémités de deux sangles de 15 mm de large, sont prises su 2 cm entre ces deux feuilles de cuir et y sont maintenues par la couture périphérique. Les extrémités libres sont appointées. Elles sont constituées de 2 feuilles de cuir maintenues ensemble par une couture, pratiquée à 2 mm du bord. L'une d'elles mesure 12 cm et est percée de 6 trous espacés de 12 mm. Elle est destinée à se boucler sur la demi-jugulaire gauche. L'autre, de 16 cm de long, reste lisse et ira se serrer dans les anneaux de la demi-jugulaire droite.
Les casques ainsi équipés sont désignés comme 1er type, une modification intervenant assez rapidement.

Mentonnière : extérieur en haut, intérieur en bas.
Mentonnière : extérieur en haut, intérieur en bas.

2ème type.

Têtes des rivets de fixation de la protection auriculaire.
Têtes des rivets de fixation de la protection auriculaire.

En effet, on se rend vite compte que les oreilles ne sont pas protégées des suspentes du parachute. Une protection auriculaire est ajoutée dans la fabrication. Les casques ainsi équipés sont désignés 2ème type, ce sont les plus fréquemment rencontrés.
Cette protection latérale supplémentaire consiste en un quadrilatère de cuir, riveté sur la base de la bombe avec 3 rivets tubulaires, identiques à ceux de la jugulaire.
Ses dimensions sont les suivantes : 14 cm à l'avant, 12 cm à l'arrière, 9 cm en haut et 6 cm en bas. En bas de cette pièce, à 4 cm du bord, est cousue parallèlement à celui-ci, une autre pièce de cuir fin de dimension 7 cm x 6 cm. Elle est ensuite repliée et cousue sur le bord, derrière la protection. Elle forme alors un fourreau de 5 cm dans lequel va passer la sangle arrière, avant de se boucler sur la jugulaire.

Protection auriculaire droite.
Protection auriculaire droite.
Protection auriculaire droite, envers.
Protection auriculaire droite, envers.
Détails des coutures du passant.
Détails des coutures du passant.
Bouclage complet, droite. Bouclage complet, gauche.
Bouclage complet, droite et gauche.

Les peintures :

Il est difficile de déterminer la couleur exacte donnée en usine, du fait des repeintures fréquentes en unité. Il s'agit vraisemblablement de kaki.
Les six exemplaires que nous avons pu observer, sont soit kaki soit bruns. Certains ont été peints au pinceau, d'autres au pistolet.

Kaki.   Kaki.   Kaki.
Divers tons de kaki.

Brun.   Brun.   Brun.
Divers tons de brun.

Les fabricants :

Aucune indication ne permet d'identifier le fabricant. Les bombes en aluminium de casques Mle 33 sont à coup sur de conception GENO, qui les utilise dans d'autres modèles, y compris civils. La logique voudrait que cette société monte également la garniture cuir. Cependant on ne peut exclure que GUENEAU ait participé à la fabrication. Le fait que ces deux sociétés fusionneront en 1953, n'est pas de nature à favoriser la détermination de leurs rôles respectifs.

Les marquages :

Les marquages sont peu nombreux. Il n'y a que la taille et parfois un cachet de réception.
La taille est systématiquement indiquée par un tampon à l'encre noire, au centre de la croisée de sangles du fond de coiffe. Les caractères font 12 mm de haut. Cette taille est reportée parfois sur l'arrière du bandeau de sudation. On la trouve aussi quelques fois sur le rembourrage, sous le cuir de sudation.
Le cachet de réception est habituellement au verso d'une des protections latérales.

Taille 55 sur un rembourrage 1er modèle.
Taille 55 sur un rembourrage 1er modèle.
Taille 54 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 54 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 55 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 55 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 57 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 57 sur la croisée de sangles de la coiffe.
Taille 54 sur le bandeau de sudation.
Taille 54 sur le bandeau de sudation.
Taille 59 sur le bandeau de sudation.
Taille 59 sur le bandeau de sudation.
Cachet de réception.
Cachet de réception.
Cachet de réception.
Cachet de réception.

Quelques exemples

Casque type 1 personnalisé.

Vue de coté.
Vue de coté.
Vue 3/4 avant.
Vue 3/4 avant.
Détail du cuir retourné et de la bouclerie laiton.
Détail du cuir retourné et de la bouclerie laiton.

Ce casque est intéressant à plusieurs égards, d'abord il s'agit d'un 1er type sans protection auriculaire, ensuite la personnalisation est assez poussée.
La jugulaire est assez rustique. Les sangles sont en cuir retourné, tandis que la bouclerie est en laiton au lieu de l'acier verni noir habituel. Les deux demi-jugulaires sont identiques, avec boucle de serrage à anneaux en D. De ce fait, les deux sangles de la mentonnière sont dépourvues de trous.
Le propriétaire l'a rendu plus confortable en remplaçant le cuir de sudation par une coiffe de casque de moto civil, à six dents de loup, de marque Geno. La croisée de toile forte a été conservée.
Le casque a été repeint et l'insigne de la 1ère Division Coloniale d'Extrême Orient est peint à la main sur l'avant.

1ère Division Coloniale d'Extrême Orient (1ère DCEO).
1ère Division Coloniale d'Extrême Orient (1ère DCEO).
Gros plan de l'insigne 1ère DCEO.
Gros plan de l'insigne 1ère DCEO.
Coiffe civile Geno.  Coiffe civile Geno.
2 vues de dessous montrant bien la coiffe Geno montée à la place du bandeau de cuir habituel.

Casque type 2 personnalisé.

Personnalisation par grattage.   Personnalisation par grattage.   Personnalisation par grattage.
Personnalisation par grattage, prénom Rita sous parachute devant, Vientiane et Hanoï sur les cotés.

Casque type 2 avec filet.

Casque trouvé avec un filet Mle 51.      Casque trouvé avec un filet Mle 51.
Casque trouvé avec un filet Mle 51, certainement monté en fin de carrière dans les années 50.
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