Singapour

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Casque Modèle M-1

Fiche

  • Dénomination : modèle M-1.
  • Destiné à une utilisation générale.
  • Coiffe constituée d'une suspension de type "Cradle".
  • Jugulaire avec mentonnière et fermeture velcro, maintenue en trois points.
  • Fabriqué à partir de la fin des années 1980.
  • Distribué à partir de la fin des années 1980.
  • Pays d'origine : Singapour.
  • Période d'utilisation : des années 1980 aux années 1990.
  • Matériaux : acier.
  • Poids : 1760 g.
  • Taille : unique.
  • Couleur : vert foncé granité.
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Historique

Singapour est une colonie britannique depuis 1867 où s'implante un grand nombre de commerçants régis sous la bureaucratie étendue et la hiérarchie complexe de la compagnie britannique des Indes orientales.
Durant la colonisation britannique, l'immigration se développa, les Britanniques firent venir dans la région des travailleurs chinois et indiens pour développer le commerce et travailler dans les plantations d'hévéas. En raison de l'interdiction faite aux étrangers d'acheter des terres agricoles en Malaisie, ces communautés s'installèrent à Singapour, qui était alors surnommée en Angleterre "le Gibraltar de l'Extrême-Orient". Pour défendre les intérêts britanniques en Asie de l'Est, la stratégie de Singapour fut imaginée, devant faire de la ville une grande base navale capable de résister à une offensive japonaise, mais cette stratégie fut un échec. Durant la seconde guerre mondiale, à partir du 15 février 1942, l'île est soumise à l'expansionnisme du Japon Shōwa et intégrée dans la sphère de coprospérité de la grande Asie orientale, à la suite d'une invasion dirigée depuis les terres, alors que les défenses de la ville étaient orientées surtout vers la mer.
L'empire britannique ne récupéra Singapour que le 5 septembre 1945 lors de l'opération "Tiderace".
En 1959, les Britanniques dotent Singapour d'une constitution propre et Lee Kuan Yew est élu Premier ministre. Son parti, le "People's Action Party" (Parti d'action populaire), propose alors l'intégration à la fédération des états de Malaisie, ce qui fut fait le 16 septembre 1963. Peu après, les Malais de la péninsule forcent Singapour à quitter la fédération (contre le gré de Lee Kuan Yew), dès 1964, des troubles éclatent, et l'indépendance de la république de Singapour vis-à-vis de la fédération est proclamée le 9 août 1965.
La séparation de Singapour de la Malaisie obligea le gouvernement à amorcer une étude de stratégie de défense et la création d'une armée afin de disposer d'une force de dissuasion pour protéger ce jeune état d'adversaires potentiels.
La tâche était d'autant plus difficile en raison des mauvaises relations établies avec l'Indonésie et la Malaisie.
Dans les années 1960, Singapour fut assisté par beaucoup de pays du bloc Ouest, notamment par les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, Israël, la Nouvelle-Zélande... etc.
Le ministre de l'intérieur et de la défense de l'époque, Goh Keng Swee, proposa au gouvernement en juin 1966 d'instaurer la conscription obligatoire, jugée comme seul moyen de renforcer les forces armées. Le gouvernement singapourien fut largement impressionné par Israël du succès de l'utilisation d'une petite armée régulière, appuyée par un grand nombre de citoyen de réserve. De plus Singapour estimait que le développement de ce type de forces armées encourage la fierté nationale et l'autonomie. C'est dans cette perspective que le développement de l'armée fut encadré par des instructeurs israéliens et l'évolution de l'armée de terre avança rapidement.
En 1970, le gouvernement divisa le ministère de l'intérieur et de la défense en deux ministères distincts. L'évolution de l'armée de l'air et la marine s'est faite à un rythme plus lent contrairement à l'armée de terre.
Dans les années 1970, les forces armées ont été élargies et de nouveaux systèmes d'armes ont été acquis à l'étranger, les industries de défense ont été établies, et les systèmes de soutien logistique militaire ont été améliorés.
Initialement équipée de matériels britanniques très présents dans la région jusqu'à l'indépendance du pays, la nouvelle armée singapourienne fut au départ coiffée de casques de fabrication anglaise.

Utilisation de casques M-1 avec jugulaire maintenue en deux points.
Utilisation de casques M-1 avec jugulaire maintenue en deux points.

Rapidement, Singapour adopta dans les années 1960 le casque US M-1, modèle largement plébiscité à travers le monde. Ce choix s'est aussi effectué dans le cadre de l'aide apportée aux États-Unis en autorisant le stationnement de troupes américaines en Asie pour endiguer l'expansion du communiste au Vietnam.
Ce casque était fabriqué nationalement sur la base du casque M-1 M1966 américain avec une jugulaire maintenue en deux points.
Le casque M-1 équipa les forces armées singapouriennes (SAF : "Singapourian Armed Forces") jusqu'à la fin des années 1980 lorsque Singapour s'équipe d'un casque fabriqué en matière composite copié sur le casque PASGT américain.
Le casque M-1 n'est cependant pas mis au rebut puisqu'une certaine quantité de casques fut reconditionné sur le modèle du casque M-1 équipant l'armée israélienne avec l'installation d'une jugulaire maintenue en trois points reprise du nouveau casque composite C-1 équipant désormais l'armée singapourienne.
Le reconditionnement de ces casques s'effectue à la fin des années 1980 parallèlement à la fabrication du casque C-1. Ces casques ne furent pas employés à grande échelle comme l'atteste l'observation des modèles étudiés qui sont neufs de stock. Ces casques étaient destinés aux nouvelles recrues jusqu'à la distribution généralisée des casques en matière composite.

Casque M-1.Casque M-1.

Constitution

La coque :

Vue avant.
Vue avant.
Vue de côté.
Vue de côté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Vue de dessus.
Vue de dessus.
ointure jonc.
Jointure jonc.
Peinture texturée.
Peinture texturée.
Étiquette du fabricant.
Étiquette du fabricant.

La forme du casque M-1 singapourien est reprise du casque M-1 américain M1966 et présente une base sensiblement plus plane que le modèle américain.
Le casque M-1 reconditionné à la fin des années 1980 est produit à partir de casques équipant auparavant l'armée singapourienne. Ces casques étaient produits à partir d'une feuille d'acier emboutie et dont la bordure était découpée après emboutissage pour donner la forme définitive du casque. La bordure tranchante du casque est protégée par un jonc en acier jointif à l'arrière. Deux pontets articulés sont soudés de part et d'autre du casque pour l'installation de la jugulaire.
Lors du reconditionnement, les pontets articulés sont retirés et les points de soudure électrique sont meulés.
La bombe est ensuite sablée pour retirer l'ancienne peinture et les éventuelles traces d'oxydation (comme l'atteste parfois des aspects "peau d'orange" dans les bombes).
Un apprêt de couleur rouge brique est d'abord appliqué puis les bombes sont mises en peinture de couleur vert olive foncé avec adjonction de sable en extérieur pour obtenir une surface granitée pour réduire les reflets du soleil.
Le casque M-1 singapourien ne possède aucun marquage estampé dans la bombe comme peuvent présenter des casques de fabrication américaine ou israélienne.
On peut parfois observer une étiquette autocollante collée à l'intérieur de la bombe de ces casques reconditionnés mentionnant la raison sociale de la firme ayant procédé à ce reconditionnement : JOHSEN EQUIPMENT CO PTE LTD. Cette étiquette porte la mention SAF attestant la destination du casque aux forces armées singapourienne ainsi que la date de reconditionnement.

La coiffe :

Le sous-casque.

Vue avant.
Vue avant.
Vue de côté.
Vue de côté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Vue de dessus.
Vue de dessus.

Tout comme la majorité des casques calqués sur le casque US M-1, la coiffe est assurée par un sous-casque ("liner"). Le sous-casque singapourien est produit en taille unique à l'instar de la bombe et est fabriqué en matière plastique comme certains clones européens du casque M-1. Le plastique employé est cependant très rigide et les parois du sous-casque très épaisses procurent au sous-casque une grande rigidité.
Après mise en forme et découpage de ses bordures pour donner sa silhouette définitive, le sous-casque est percé de onze trous pour l'installation de l'aménagement intérieur :
- 6 trous pour la suspension de coiffe de type "Cradle".
- 3 orifices pour la bande nuquière anti basculement.
- 1 trou de chaque côté pour les tenons retenant la petite jugulaire en cuir.
Bien que la matière plastique employée soit teinté dans la masse en vert, l'intérieur du sous-casque reçoit une fine couche de peinture avant installation des équipements et l'extérieur est peint de couleur identique après rivetage des éléments.
Une étiquette est collée au fond du sous-casque sur laquelle sont imprimées les informations suivantes :

S. A. F.
8470 - 32001896J
SAF – SP – L – 0013
LINER GROUND TROOPS HELMET
D. A. C.
P T 000547
Étiquette de nomenclature.
Étiquette de nomenclature.

La suspension "Cradle".

Suspension Cradle.
Suspension "Cradle".
Plaque de maintien.
Plaque de maintien.
Jointure cerclage avant.
Jointure cerclage avant.
Boucle de réglage de la suspension.
Boucle de réglage de la suspension.
Bandeau de tour de tête.
Bandeau de tour de tête.
Clips métalliques de maintien.
Clips métalliques de maintien.
Orifice.
Orifice.
Clip mis en place.
Clip mis en place.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
Bandeau mis en place.
Bandeau mis en place.

Le sous-casque du casque M-1 singapourien reprend la coiffe du liner M1964 américain avec suspension de type "Cradle".
Cette suspension est solidarisée dans la bombe du sous-casque par des plaques de maintien en acier en forme de A, et rivetées dans la bombe. La suspension est fabriquée à partir de bandes de toile de nylon de couleur verte larges de 30 millimètres. Elle est constituée d'un cerclage jointif à l'avant et sur lequel sont maintenues à l'avant par couture carrée les trois sangles constituant la suspension. Les trois sangles se croisent en leur milieu dans la doublure centrale de la sangle transversale. Ces bandes sont maintenues à l'arrière à trois boucles à double fente solidarisées par une petite patte de toile, elles-mêmes solidarisées par couture à l'arrière du cerclage de toile. La fente supérieure de chaque boucle est dentelée afin d'éviter que la bande de la suspension ne bouge après réglage.
Le maintien sur la tête est assuré par un bandeau de tête dont sa conception diffère des bandeaux que l'on rencontre habituellement. Il est confectionné sur une bande de toile de nylon large de 30 millimètres et d'une longueur d'environ 70 centimètres. Une des extrémités retient la boucle de réglage à double fente, dont l'une est dentelée pour mieux assurer le réglage. L'autre, libre, est brûlé pour éviter l'effilochement.
Ce bandeau est doublé d'une bande de toile cirée brune de dimension 52 x 6,5 centimètres qui est retenue par un unique trait de couture sur la bordure haute de la bande de toile de nylon.
Le bandeau de tête est retenu sur le cerclage de la suspension en toile à l'aide de six agrafes métalliques confectionnées en métal peint en noir. Ces agrafes ne se clipsent pas, la fermeture est assurée par une patelette présente à une des extrémités et se refermant par pliage dans un orifice situé à l'opposé.
Les agrafes sont insérées dans la toile de nylon du bandeau dans des orifices effectués à l'aide d'un fer chaud.

Bande nuquière anti-basculement.

Bande nuquière.
Bande nuquière.
Boucle arrière.
Boucle arrière.
Bande nuquière.
 
Boucle latérale.
Boucle latérale.
Bande nuquière.
 

Tout comme la coiffe du liner M1964 américain, le sous-casque singapourien est aussi complété d'un dispositif anti basculement assuré par une bande de toile couvrant la nuque et évite ainsi au casque de basculer en avant en cas de manœuvre brusque.
Cette bande nuquière est constituée d'une bande de toile de nylon rectangulaire de couleur de dimension 125 x 40 millimètres et dont les coins sont coupés puis brûlés pour éviter l'effilochement. Une bande de toile de dimension 180 x 15 millimètres est retenue de chaque côté par une couture rectangulaire complétée d'une croix. Une troisième bande, plus courte mesurant 110 millimètres de long, est cousue de manière similaire sur la longueur inférieure.
La bande nuquière est mise en place dans le sous-casque par trois petites boucles à double passants dont la fente inférieure est crantée. Sa base est retenue dans une patte métallique repliée sur elle-même, jouant ainsi le rôle de charnière. Cette patte est rivetée ensuite dans le liner (au centre arrière et sur les côtés).

Bande nuquière mise en place.
Bande nuquière mise en place.

Jugulaire en cuir.

Jugulaire du sous-casque en cuir.
Jugulaire du sous-casque en cuir.
Triangle de maintien.
Triangle de maintien.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
 
Tenon de fixation.
Tenon de fixation.
Mise en place.
Mise en place.

Le sous-casque singapourien conserve la petite jugulaire en cuir (abandonné sur le liner américain M1964). Elle est fabriquée à partir d'une épaisse (environ 2 millimètres) bande de cuir tannée en brun foncé de dimension 64 x 1,2 centimètres.
La jugulaire est constituée d'une seule pièce, elle est fixée au casque par deux dés triangulaires en fil métallique de Ø 1,5 mm, comportant un rouleau qui laisse libre les extrémités. Chaque dé présente, à l'entrée de sa partie étroite, un léger étranglement qui permet, sous la pression, le passage du bouton support de jugulaire et le maintien du dé sur celui-ci. L'étranglement des dés est pincé pour mieux assurer le maintien dans le sous-casque. Ces dés sont en corde à piano avec rouleau en laiton anodisé en noir.
Le montage de la jugulaire est le suivant : Sa longueur est réglable au moyen d'un clip enchapé à l'une de ses extrémités retenues par un large rivet mécanique. L'autre extrémité passe dans un dé triangulaire, coulisse dans le clip et vient enchaper le deuxième dé triangulaire. Les enchapures sont fermées par un rivet en laiton dont la tête est anodisée en noir. Le clip de jugulaire est en laiton anodisé en noir.

La jugulaire :

Boucle latérale.
Boucle latérale.
Boucle latérale.
 
Boucle arrière.
Boucle arrière.
Boucle arrière.
 
Détails ancien point de maintien des boucles.
Détails ancien point de maintien des boucles.
Vue générale.
Vue générale.
Jugulaire, vue à plat (envers/revers).
Jugulaire, vue à plat (envers/revers).
Jugulaire, vue à plat (envers/revers).
Point de fermeture.
Point de fermeture.
Extrémité renforcée par ferret.
Extrémité renforcée par ferret.
Vue d'ensemble.
Vue d'ensemble.

La jugulaire du casque M-1 singapourien reconditionné reprend le principe du casque M-1 israélien et possède désormais une topologie en trois points. Ce modèle reprend la jugulaire du nouveau casque composite C-1 nouvellement adopté par l'armée singapourienne qui est retenue à trois pontets articulés installés dans la bombe en acier.
Les deux passants latéraux sont constitués d'une boucle rectangulaire dans laquelle coulisse une barre autobloquante (dentée à son sommet). Cette boucle est fixée sur une pièce métallique en forme de "T", repliée sur elle-même à la base de la boucle. Ce support, jouant le rôle de charnière, est ensuite soudé à la bombe par trois points de soudure électrique.
Le passant arrière est une simple boucle rectangulaire, pivotant sur le même type de support maintenue de manière similaire.
Ces casques étant reconditionnés de manière contemporaine au modèle C-1, ces casques reprennent la nouvelle jugulaire du casque nouvellement adopté par l'armée singapourienne.
Cette jugulaire est fabriquée à partir de bandes de toile de type "web" en coton teintées en vert et large de 20 millimètres. Constituée en deux parties, trois extrémités sur quatre sont renforcées d'un ferret en laiton anodisé en noir pour éviter l'effilochement. La partie courte de la jugulaire est constituée d'une bande de toile longue de 28 et pliée en V. La pliure retient un anneau en laiton d'un diamètre de 28 millimètres destiné à la fermeture de la jugulaire. Une des extrémités est renforcée d'un ferret, l'autre retient une boucle rectangulaire à double fentes pour relier la seconde partie de la jugulaire. La partie longue de la jugulaire est constituée de deux bandes de toile croisées pour former la mentonnière munie d'une extension à velcro pour assurer la fermeture dans l'anneau. Elle comporte une bande longue d'environ 54 centimètres, est destinée à passer dans le passant arrière du casque.
La jugulaire est retenue aux passants autobloquants du casque, l'excédent de toile étant maintenu par un anneau du même matériau. La partie arrière coulisse librement dans l'anneau arrière du casque et est jointif à la seconde partie de la jugulaire grâce à la boucle à double passant. L'excédent de toile est aussi retenu par un anneau en toile.

Le camouflage additionnel :

Couvre-casque, vue à plat (envers/revers).
Couvre-casque, vue à plat (envers/revers).
Couvre-casque, vue à plat (envers/revers).
 
Détails mise en place.
Détails mise en place.
Étiquette du fabricant.
Étiquette du fabricant.
Vue de biais.
Vue de biais.
Vue intérieure.
Vue intérieure.
Modèle type Tiger pattern.
Modèle type "Tiger pattern".

Depuis les années 1970, l'armée singapourienne est équipé d'uniforme vert uni appelé "Temasek". Seules les unités spéciales reçoivent des uniformes camouflés avec tâches bariolés verticales dont le schéma est semblable au "Tiger pattern" utilisé par les forces spéciales américaine lors de la guerre du Vietnam. Ce schéma de camouflage sera employé pour la premier fois pour des couvre-casques pour des unités d'infanterie en 1976.
Au milieu des années 1980, l'armée singapourienne adopte un schéma de camouflage général pour tous les services, basé sur le modèle de camouflage américain "Woodland".
Les couvre-casques confectionnés pour le casque M-1 reconditionné suivent les uniformes encore en dotation au sein des forces armées singapouriennes. Les premiers couvre-casques sont imprimés en camouflage type "Tiger pattern" puis ce sont essentiellement des couvre-casques type "Woodland" qui seront produits.
Les couvre-casques sont fabriqués à partir de quatre pans de toile imprimé en surface et cousus ensemble en croix à partir du point sommital du casque.
La base est repliée sur elle-même sur environ 13 centimètres et un ourlet est formé sur sa périphérie pour le passage d'un lacet plat destiné à faciliter l'installation. Cette large doublure permet d'assurer une meilleure solidité du couvre-casque sur la bordure du casque en acier très sujette aux frottements.
Trois boutonnières sont effectuées sur cette bordure pour le passage des trois pontets articulés du casque en acier.
Les couvre-casques du casque M-1 singapourien présentent une étiquette imprimée retenue par une des coutures d'assemblage. Cette étiquette présente la raison sociale du fabricant.

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