Yougoslavie

Yougoslavie

Casque Modèle 39

Fiche

  • Dénomination : modèle 39 (désignation non officielle).
  • Destiné à une utilisation générale.
  • Coiffe constituée de cinq pattes en cuir rembourrées de crin de cheval et directement montées dans la coque.
  • Jugulaire en cuir avec mentonnière, fermeture avec boucle à ardillon.
  • Caractéristique : copie du casque Vz 32 tchécoslovaque.
  • Fabriqué à partir de 1938.
  • Distribué à partir de 1939.
  • Pays d'origine : Tchécoslovaquie / Yougoslavie.
  • Période d'utilisation : de 1939 à 1945.
  • Matériaux : acier.
  • Poids : 1135 g.
  • Taille : 2 ?
  • Couleur : gris-vert.
Preview

Historique


La Yougoslavie (Jugoslavija dans les langues slaves, en cyrillique Југославија, signifiant « pays des Slaves du Sud » en serbo-croate) était un État d'Europe du Sud-Est ayant existé sous différentes formes entre 1918 et 2003. Elle regroupait les pays actuels suivants : Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Serbie, Macédoine, ainsi que le Kosovo — une région autonome de Serbie dont l'indépendance autoproclamée le 17 février 2008 n'est que partiellement reconnue par la communauté internationale.
Les prémices de la future Yougoslavie remontent à la période précédant la Première Guerre mondiale. En 1906, un groupe d'intellectuels dirigé par Aurel Popovic propose la création des États-Unis de Grande Autriche — un projet passé inaperçu à l'époque, mais qui influencera plus tard les négociations de paix et le démantèlement de l'Empire austro-hongrois en 1918.
L'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche le 28 juin 1914 à Sarajevo déclenche la Première Guerre mondiale. La Serbie, dirigée par le roi Pierre Ier, est rapidement impliquée. Malgré quelques succès initiaux, elle est contrainte à la retraite face à la coalition austro-hongroise, allemande et ottomane. L'armée serbe rejoint néanmoins les forces alliées sur la côte albanaise et est transportée à Corfou pour y être rééquipée, notamment avec le casque Adrian modèle 15, arborant l'aigle bicéphale de la famille royale serbe des Karađorđević.
À la fin du conflit, l'armée serbe, soutenue par les Alliés, libère son territoire. L'effondrement de l'Empire des Habsbourg en octobre 1918 conduit à la proclamation de l'indépendance de l'État des Slovènes, Croates et Serbes. Toutefois, l'unification avec la Serbie suscite de vives divergences : les Croates et Slovènes soutiennent un projet fédéraliste, tandis que les Serbes défendent une vision centralisatrice. Finalement, l'union est acceptée sous réserve qu'une future assemblée constituante en définisse les modalités.
Le 1er décembre 1918, le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes est proclamé à Belgrade par le régent Alexandre (futur roi Alexandre Ier), fils de Pierre Ier. Ce nouvel État inclut :
- le royaume de Serbie,
- le royaume du Monténégro,
- la Voïvodine,
- la Bosnie-Herzégovine,
- la Croatie,
- et la Slovénie.
L'unification impose la création d'un nouvel emblème militaire, remplaçant celui purement serbe. Un nouvel insigne, associant les symboles de la Serbie, de la Croatie et de la Slovénie, est conçu pour orner le casque Adrian. À partir de 1929, le pays prend officiellement le nom de Royaume de Yougoslavie, après la suspension de la Constitution par le roi Alexandre Ier.
Sur le plan militaire, la Yougoslavie continue d'utiliser les casques Adrian français, en particulier les modèles 15 et 23. Le modèle 23, conçu en France à partir de 1922, est issu d'expérimentations visant à améliorer la résistance et le confort du casque. Bien qu'il ne soit jamais adopté officiellement par l'armée française, il est exporté, notamment vers la Yougoslavie, qui restera fidèle à ce type d'équipement jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
À la fin des années 1930, l'armée royale de Yougoslavie engage un programme de modernisation de son équipement, incluant le remplacement de ses casques. Elle se tourne alors vers la Tchécoslovaquie, alors grand producteur et exportateur de matériel militaire. L'armée yougoslave s'intéresse au casque tchécoslovaque Vz 32, adopté en 1934, pour remplacer les casques Adrian en dotation. La Yougoslavie obtient les droits de fabrication de ce casque sur son territoire, dont la production semble débuter en 1938 dans l'usine technique Vojno, localisée dans la ville de Čačak (en actuelle Serbie). L'adoption officielle de ce nouveau casque intervient en 1939. Connu dans la communauté des collectionneurs sous le nom de casque modèle 39 — ou casque « Čačak », en référence à sa ville de fabrication —, il est produit en quantités très limitées. Le faible nombre d'exemplaires encore existants, ainsi que la rareté des preuves photographiques de son usage, en attestent.
Sa production est interrompue par l'invasion du pays en avril 1941. L'invasion de la Yougoslavie, également appelée « Guerre d'avril », se déroule du 6 au 17 avril 1941. Cette offensive éclair, menée par les forces de l'Axe — principalement l'Allemagne nazie, l'Italie et la Hongrie —, entraîne la capitulation rapide du pays et son démembrement.
Sous la pression de l'Allemagne, le régent yougoslave, le prince Paul, signe le Pacte tripartite le 25 mars 1941, alignant le pays avec l'Axe. Cette décision provoque un coup d'État le 27 mars, mené par des officiers pro-britanniques, qui placent le jeune roi Pierre II au pouvoir. En réaction, Hitler ordonne l'invasion de la Yougoslavie, considérant le renversement du régime comme une menace pour ses plans dans les Balkans.

Casque Adrian modèle 23 pour officer d'importation française.
Casque Adrian modèle 23 pour officer d'importation française.

L'attaque débute le 6 avril par un bombardement massif de Belgrade lors de l'opération Châtiment, provoquant de lourdes pertes civiles et désorganisant les défenses. Simultanément, les troupes de l'Axe avancent sur plusieurs fronts :
- les Allemands depuis la Bulgarie, la Roumanie et l'Autriche,
- les Italiens depuis l'Albanie et la côte adriatique,
- les Hongrois depuis le nord.
Face à cette offensive coordonnée, l'armée yougoslave, mal préparée et traversée par de profondes divisions internes, est incapable de résister. Belgrade tombe le 13 avril et la capitulation officielle est signée le 17 avril.
La Yougoslavie est alors démantelée : l'Allemagne et l'Italie se partagent des zones d'occupation, et l'équipement de l'armée yougoslave tombe aux mains de l'envahisseur. Le casque modèle 39, notamment, est réutilisé au sein de la Regia Aeronautica, l'armée de l'air royale italienne.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le casque modèle 39 est porté par les volontaires serbes combattant aux côtés de la Wehrmacht dans la lutte contre les partisans. On le retrouve également au sein du Corps russe de Serbie. En effet, lors de la révolution russe, de nombreux Russes trouvèrent refuge dans le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes (la future Yougoslavie) ainsi qu'en Bulgarie. En 1941, la colonie russe de Belgrade comptait environ 10 000 personnes, et de nombreux anciens combattants du Corps de défense russe offrirent leurs services aux Allemands, qu'ils considéraient comme une forme de légitime défense face à la persécution des émigrés russes par les communistes locaux. À la capitulation de l'Allemagne, le Corps russe se trouvait en Slovénie et comptait 4 500 hommes. Les casques utilisés par ses membres arboraient une croix de Saint-Georges peinte en blanc sur la partie frontale.
Le casque modèle 39 est également porté par les Oustachis (c'est-à-dire les insurgés), membres d'un mouvement séparatiste croate, fasciste et anti-yougoslave, qui soutinrent les troupes de l'Axe dans leur lutte contre les partisans. Leurs casques étaient ornés du blason à damier blanc et rouge caractéristique de la Croatie.
Malgré une utilisation brève au sein de l'armée royale yougoslave, le casque modèle 39 reste surtout associé à une période sombre de l'histoire de la Yougoslavie, ce qui explique sans doute son abandon au lendemain du conflit.

Casque yougoslave modèle 39. Casque yougoslave modèle 39.
Casque yougoslave modèle 39. Casque yougoslave modèle 39.
Casque yougoslave modèle 39. Casque yougoslave modèle 39. Casque yougoslave modèle 39.

Constitution

La coque :

Vue avant.
Vue avant.
Vue de côté.
Vue de côté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Vue de dessus.
Vue de dessus.

La bombe du casque yougoslave modèle 39 reprend à l'identique celle du casque tchécoslovaque Vz 32. Elle est formée d'un seul tenant par emboutissage d'une feuille d'acier, avec une différence minime de taille par rapport au modèle tchécoslovaque : Le modèle yougoslave présente une circonférence de 80 centimètres, contre 81 centimètres pour le Vz 32. Le nombre restreint d'exemplaires observés ne permet pas, à ce jour, de déterminer si ce casque a été produit en deux tailles, à l'instar du modèle tchécoslovaque. Toutefois, cette légère différence pourrait appuyer l'hypothèse d'une fabrication intégrale sur le territoire national.
La bordure du casque est découpée après emboutissage et adopte une forme semi-sphérique. Vue de dessus, la coque présente une coupe ovale. La base du casque est parfaitement plate, et la bordure est laissée nette, simplement ébavurée, sans ajout de jonc pour en adoucir les contours.
La bombe est ensuite percée de sept trous : cinq pour l'installation des pattes de coiffe, fixées directement aux parois du casque à l'aide de rivets fendus, et deux pour le maintien des fourreaux de jugulaire, retenus par un rivet mécanique.
La coque est ensuite peinte d'une couleur gris-vert mate. Contrairement au Vz 32, qui peut présenter un marquage estampé au fond de la bombe, le modèle 39 yougoslave n'en porte aucun.

Tampon de l'usine de Čačak.
Tampon de l'usine de Čačak.
Tampon de la commission de réception.
Tampon de la commission de réception.
Tampon de la commission de réception.
 

À condition que le casque yougoslave modèle 39 soit dans un état relativement bon, il peut présenter des marquages au tampon encreur noir, appliqués lors de sa production dans l'usine située à Čačak.
On peut ainsi observer un marquage identifiant l'usine de fabrication, soit sous la forme d'un sigle dont les trois dernières lettres correspondent, en alphabet latin, à VTZ pour Vojno Tehnični Zavod, soit sous la forme d'une mention en toutes lettres : Čačak Zavod, signifiant « usine de Čačak ».
La bombe du casque modèle 39 présente également un tampon apposé lors du contrôle qualité, portant la mention « пријемна комисија » (commission de réception), surmontée des armoiries du royaume de Yougoslavie. Ce marquage inclut également la date de production du casque.
Ces marquages sont appliqués sur les côtés du casque à proximité des pontets articulés de la jugulaire.
En cours de production, le marquage apposé par la commission de réception subit quelques modifications : le blason du royaume de Yougoslavie disparaît et la police utilisée est de taille supérieure.

Autre tampon d'usine.
Autre tampon d'usine. Autre marquage de contrôle.
Autre marquage de contrôle.

La coiffe :

Tête de rivet.
Tête de rivet.
Patte de coiffe.
Patte de coiffe.
Revers patte de coiffe avec compartiment de rembourrage.
Revers patte de coiffe avec compartiment de rembourrage.
Revers patte de coiffe avec compartiment de rembourrage.
 
Patte de coiffe maintenue par une plaque métallique, maintien renforcé d'une rondelle.
Patte de coiffe maintenue par une plaque métallique, maintien renforcé d'une rondelle.
Envers patte de coiffe.
Envers patte de coiffe.
Envers patte de coiffe.
 
Rembourrage avec du crin de cheval.
Rembourrage avec du crin de cheval.
Rembourrage avec du crin de cheval.
 

La coiffe du casque modèle 39 reprend celle du modèle tchécoslovaque Vz 32, bien qu'elle s'en distingue par certains détails. Elle est composée de cinq pattes, confectionnées dans un cuir plus épais que celui généralement observé sur les coiffes des casques Vz 32, avec un tannage le plus souvent de couleur blanche. Les pattes d'un même casque peuvent provenir de différentes peaux de cuir.
La base de chaque patte est scindée en deux parties, chacune percée d'un trou renforcé par un œillet métallique destiné au passage du lacet en cuir qui relie les pattes entre elles, permettant ainsi le réglage en profondeur de la coiffe. Sur le modèle yougoslave, ces œillets creux sont en acier peint en noir (et donc sujets à la corrosion), tandis qu'ils sont en laiton sur le Vz 32.
Une bande de toile est cousue à l'arrière de chaque patte, formant un compartiment destiné à recevoir le rembourrage, généralement constitué de crin de cheval. Ces sachets de toile sont fermés par un rabat, maintenu à l'aide d'un lacet en toile de couleur noire (contrairement au modèle tchécoslovaque où le lacet est blanc), cousu sur le rabat. Le lacet traverse le cuir de chaque patte et est noué à l'arrière.
Chaque patte est fixée à la bombe du casque à l'aide d'un rivet fendu à tête hémisphérique de 10 millimètres de diamètre. Ce rivet sert à maintenir une bande métallique rigide qui plaque la patte contre la paroi intérieure du casque. Cette plaque est peinte de couleur identique au casque. Le haut de chaque patte enveloppe une plaque métallique, maintenue par le rivet fendu, lui-même inséré dans une rondelle renforçant le point de fixation.
La coiffe étant composée d'un nombre impair de pattes, le casque présente une face (avant ou arrière) avec un rivet central visible. À l'instar du casque Vz 32, le modèle 39 yougoslave peut être porté indifféremment dans un sens ou dans l'autre, la bombe étant parfaitement symétrique.

Coiffe, vue d'ensemble.
Coiffe, vue d'ensemble.
Tampon de la commission de réception.
Tampon de la commission de réception.
Autre forme du tampon de la commission de réception.
Autre forme du tampon de la commission de réception.

Tampon de la commission de réception.

À l'instar de la bombe, les éléments de la coiffe sont tamponnés par une commission de réception chargée de contrôler la qualité de fabrication. Ce contrôle est effectué en fin de production des pattes de coiffe, avant leur installation, et le marquage est appliqué sur la partie inférieure en cuir de chaque patte.
On distingue deux types de marquages de réception. Le premier, de forme allongée, reprend les mentions figurant sur le tampon apposé dans la bombe, mais disposées sur une seule ligne (contre trois pour celui de la bombe). Il comporte la mention « пријемна комисија » (commission de réception), suivie de la date de production, le tout surmonté des armoiries du royaume de Yougoslavie.
Le second, de forme abrégée, se limite aux lettres « ПК », diminutif de « пријемна комисија ».
Toutes les pattes de coiffe sont marquées, avec une alternance entre les formes longue et abrégée du tampon de contrôle, comme observé sur le modèle présenté dans cette fiche. Il convient toutefois de noter que cette alternance ne peut être considérée comme une règle systématique.

La jugulaire :

Tête de rivet.
Tête de rivet.
Passant de jugulaire.
Passant de jugulaire.
Rivet à double tête.
Rivet à double tête.
Détails maintien.
Détails maintien.
Jugulaire, vue à plat - envers/revers.
Jugulaire, vue à plat - envers/revers.

La jugulaire est fixée à deux boucles articulées, chacune retenue de part et d'autre du casque. Ces boucles, de forme rectangulaire (25 x 15 millimètres), sont enchâssées à leur base dans une patte métallique repliée en deux, formant un court rectangle. Elles sont maintenues à la bombe par un rivet mécanique à tête hémisphérique de 7 millimètres de diamètre, soit sensiblement plus petit que les rivets latéraux du casque Vz 32. Contrairement au modèle tchécoslovaque, ce système de fixation n'est pas renforcé par une rondelle.
La jugulaire, fabriquée en cuir épais, est constituée de deux parties. La première est une bande de cuir mesurant 45 centimètres de long sur 20 millimètres de large. Sa partie centrale, élargie à 30 millimètres, est évidée en son centre pour former une mentonnière.
L'une des extrémités de cette bande comporte sept trous permettant la fermeture à l'aide de la boucle à ardillon fixée sur la seconde partie de la jugulaire. L'autre extrémité présente douze trous regroupés par paires, chaque paire étant reliée par une fente. Ce dispositif offre six positions de fixation possibles sur le casque via un rivet à double tête, permettant d'ajuster la jugulaire à la longueur souhaitée tout en maintenant la mentonnière en position centrale. Cette longue partie est installée avec la face lisse tournée vers l'intérieur (contre la peau), à l'inverse de ce que l'on observe généralement sur le casque Vz 32. Toutefois, cette configuration étant réversible, il est difficile d'affirmer qu'elle constitue une constante.
La seconde partie de la jugulaire, longue de 8 centimètres, porte la boucle à ardillon. Elle comprend également une boucle en cuir permettant de maintenir l'excédent de jugulaire une fois la fermeture assurée. Un petit trapèze en cuir est cousu au dos de la boucle pour protéger la peau du soldat des frottements métalliques.
Contrairement aux autres éléments du casque modèle 39, la jugulaire ne semble pas porter de marquage identifiable.

Jugulaire, vue d'ensemble.
Jugulaire, vue d'ensemble.

Comparatif entre le casque tchécoslovaque Vz 32 et le casque yougoslave modèle 39.

Casque Vz 32 tchécoslovaque. Casque modèle 39 yougoslave.
Casque Vz 32 tchécoslovaque.
Casque Vz 32 tchécoslovaque.
Casque modèle 39 yougoslave.
Casque modèle 39 yougoslave.

Pour compléter cette description du casque modèle 39 yougoslave, il est essentiel de le comparer au casque tchécoslovaque Vz 32, sur lequel il est largement basé — d'autant plus que le modèle 39 est nettement plus rare que son homologue tchécoslovaque.
Bien que la conception des deux casques soit globalement identique — le modèle 39 ayant probablement été produit sous licence —, le casque yougoslave présente plusieurs caractéristiques distinctives, notamment sur les premières fabrications, où l'aménagement intérieur du modèle 40 rappelle fortement celui du casque suédois. Le casque finlandais, bien que proche dans sa forme, présente également des spécificités propres.
Les principales différences entre le casque Vz 32 et le modèle 39 yougoslave sont les suivantes :

  • Couleur de la peinture : le modèle 39 est peint d'un gris-vert mat, tandis que le Vz 32 arbore une teinte marron-vert.
  • Rivets latéraux : les rivets retenant les pontets articulés de la jugulaire sont plus petits sur le modèle 39 (7 mm contre 8 mm pour le Vz 32).
  • Lacet de fermeture des compartiments de rembourrage : noir sur le modèle yougoslave, il est blanc sur le modèle tchécoslovaque.
  • Œillets creux : en acier peint (donc sujet à la corrosion) sur le modèle 39, ils sont en laiton sur le Vz 32.
  • Fixation des pontets articulés : assurée par un rivet mécanique sans rondelle de renfort sur le modèle 39, contrairement au Vz 32.
  • Position et type des marquages : lorsqu'ils sont présents, les marquages du modèle 39 sont situés sur les côtés ; ceux du Vz 32 apparaissent généralement entre les deux pattes de coiffe arrière, voire au fond de la bombe selon le fabricant.
World War Helmets utilise des traceurs afin de collecter certaines informations relatives aux visites de manière anonyme comme l'adresse IP pour identification du pays, temps de visite, pages consultées, informations techniques du périphérique utilisé (système d'exploitation, version du navigateur, résolution... etc.).
En poursuivant votre navigation, vous acceptez la collecte de ces données à des fins de statistiques pour mesurer l'audience et améliorer la navigation du site.