Émirats-Arabes-Unis

Émirats-Arabes-Unis

Casque Modèle 87

Fiche

  • Dénomination : Modèle 87.
  • Fabricant : S.A.P.H.I. Ltd. (South African Pith Helmet Industry Ltd.)
  • Destiné à une utilisation générale.
  • Coiffe constituée d'une suspension de type "Riddel".
  • Jugulaire en trois points avec mentonnière, fermeture à l'aide d'une boucle coulissante.
  • Camouflage par couvre-casque.
  • Fabriqué à partir de 1987.
  • Distribué à partir de 1987.
  • Pays d'origine : Afrique du Sud.
  • Période d'utilisation : des années 1990 aux années 2010.
  • Matériaux : fibre aramide.
  • Poids : 1180 g (taille S).
  • Taille : 3 tailles (S, M et L).
  • Couleur : marron terre.
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Historique

Les Émirats-Arabes-Unis (EAU) sont un ancien protectorat britannique à la suite de la signature d'une série d'accords et de traités entre les britanniques et les cheikhs de chaque émirat de la côte du Golfe après la défaite des Qawasim en 1820. Ils sont alors considérés comme les États de la Trêve qui deviennent un protectorat à la suite d'un nouveau traité signé avec le Royaume-Uni en 1892 et entrent ainsi dans l'empire colonial britannique. Ce dernier assure aux États de la Trêve une protection terrestre et maritime.
Le protectorat prospère à l'époque grâce à l'industrie perlière qui disparaît au lendemain de la seconde guerre mondiale en raison du monopole de la perliculture japonaise. S'en suit une crise économique qui prend fin au début des années 1960 avec la découverte d'un premier gisement de pétrole à Abou Dhabi qui permet le développement rapide de l'émirat sous la conduite du cheikh Zayed ben Sultan Al Nahyane.
Dubaï est également gagné par cet élan de développement économique, aidé par les recettes des exportations pétrolières. Les différents émirats commencent à se rapprocher et à reprendre le contrôle des mains des Anglais, notamment en formant un conseil qui leur permet de décider eux-mêmes des enjeux politiques les concernant.
En 1968, les britanniques se retirent de la région et mettent fin aux États de la Trêve, composés également des états de Bahreïn et du Qatar. Les neuf états tentent de former une union, mais ne parvenant pas à se mettre d'accord, Bahreïn et le Qatar déclarent leur indépendance respectivement en août et en septembre 1971.
Le 2 décembre 1971, six des sept émirats restants accèdent à l'indépendance en formant aussitôt une fédération qui prend le nom d'Émirats-Arabes-Unis. Ils seront rejoints en 1972 par le septième émirat, celui de Ras-el-Khaïmah. Le pays connaît alors une importante période de développement économique et démographique.
Deux jours avant sa création, l'Iran reprend le contrôle des îles de la Petite et Grande Tunb, qui font partie de l'émirat de Ras-el-Khaïmah. Des troupes iraniennes débarquent également à Abou-Moussa, un territoire de l'émirat de Charjah.
Comme toute nation, les Émirats-Arabes-Unis développent ses forces armées dans l'objectif d'assurer la souveraineté nationale ainsi que d'être représenté sur la scène internationale auprès des principales coalitions.
Les forces armées émiriennes sont constituées des forces fédérales des Émirats-Arabes-Unis réparties dans l'armée de terre, les forces aériennes, la marine et d'autres composantes de défense, ainsi que par les unités militaires propres aux sept Émirats. Ces forces constituent l'UDF : "Union Defense Forces".
Elles disposent d'un personnel d'active de 65 000 hommes et leur budget est de 14,3 milliards de dollars en 2015, soit 5,34 % du PNB constituant les dépenses militaires les plus élevées de la planète. Elles sont principalement équipées par les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Corée du Sud. Ses quartiers-généraux sont situés à Abou Dhabi.
Les émirats arabes présentent la particularité d'avoir, malgré une population extrêmement faible, une des armées les plus entrainées du Moyen-Orient au point d'être surnommée "La mini Sparte".
Suite à l'invasion du Koweït en 1990 par l'Irak, les Émirats arabes unis ont entretenu de bonnes relations avec leurs alliés occidentaux dans le domaine militaire. Ils ont coopéré avec les forces occidentales afin de libérer le Koweït. Ils ont signé des traités de défense et de coopération militaire avec la France et les États-Unis, lesquels lui ont fourni aide et matériels militaires. Récemment, un traité de défense militaire a été signé aux termes duquel la France s'engage à protéger les émirats en cas d'atteinte à leur souveraineté nationale. Les Français ont également ouvert une base militaire dans la capitale des Émirats et les deux pays ont signé un accord nucléaire civil. Les Émirats-Arabes-Unis sont également membres du Conseil de coopération du Golfe.
L'UDF fut déployées au Koweït durant la guerre du Golfe de 1991 en tant que membre du "Bouclier de la Péninsule" et prit position dans Koweït City où elle fournit un soutien logistique à l'armée américaine. Les soldats émiratis étaient alors coiffés de casques M-1 C de fabrication nationale et étaient vêtus d'uniforme arborant le schéma de camouflage désertique "chocolate chip" à l'instar d'une majorité des troupes américaines.
En 1993, elles déploient un bataillon d'infanterie dans le cadre de la mission de l'ONU en Somalie. Durant la guerre d'Irak en 2003, un régiment fut déployé au Koweït. Par ailleurs, l'armée émirienne contribue à la protection du Golfe Persique et du détroit d'Ormuz contre les menaces terroristes.
Au cours des années 1990, les EAU s'équipent de casques composites auprès de l'Afrique du Sud.

Casque M-1 de fabrication émirati.
Casque M-1 de fabrication émirati.

Ces casques sont très similaires à ceux déjà employés au sein des forces armées sud-africaines, dont le fabricant S.A.P.H.I. Ltd. ("South African Pith Helmet Industry Ltd.") localisée à Rosslyn dans la banlieue de Pretoria décline le casque modèle 87 de la SADF pour l'exportation. Ces casques sont pour la première fois observés sur des soldats émiratis lors de l'intervention des troupes des EAU au sein de la KFOR pour le maintien de la paix au Kosovo. Les forces armées des EAU participent à partir de septembre 2014 à la guerre contre l'État islamique. Entre 2006 et 2010, les émirats achètent plus d'armes que toutes les autres monarchies du Golfe combinées.
Les EAU emploieront ce casque en remplacement du casque M-1 jusque dans les années 2010 où ils adopteront le casque BK3 de la société croate Sestan-Busch.

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Casque modèle 87 sud-africain !

Modèle 87. Modèle 87.
Modèle 87. Modèle 87.

Constitution

La coque :

Vue avant.
Vue avant.
Vue de côté.
Vue de côté.
Vue arrière.
Vue arrière.
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Jonc en caoutchouc jointif à l'arrière.
Jonc en caoutchouc jointif à l'arrière.
Peinture texturée.
Peinture texturée.

Le casque modèle 87 de fabrication sud-africaine est formé par succession de couches de toiles (de couleur jaune) de fibres aramides tissées pour former un tissu d'armure toile (ou taffetas). Ces couches de toiles aramides sont noyées dans une résine balistique thermo-formable puis mises en forme dans un moule sous vide. La bombe du modèle 87 est fabriquée en trois tailles (S, M et L) afin d'économiser les matériaux onéreux.
Une fois matricées, les fibres aramides en excès noyées dans la résine sont ébavurées afin d'obtenir la silhouette du casque. Les parois du casque modèle 87 sont plus minces que le casque PASGT sur lequel il est calqué, ceci en réduit son poids de manière significative (environ 300 g à taille équivalente) mais aussi sa résistance balistique. Aussi, on peut observer de sensibles différences de forme entre plusieurs exemplaires, notamment au niveau de la visière avant, ce qui indique une qualité de fabrication plutôt moyenne comparé au casque PASGT américain.
La bombe est ensuite percée à neuf reprises, six trous pour la mise en place de la suspension de coiffe et un trou de chaque côté puis un à l'arrière pour la pose des boucles retenant la jugulaire. Les trous latéraux destinés à la pose des boucles retenant la jugulaire sont percés sensiblement plus haut que sur le modèle destiné à la SADF.
La bombe du casque reçoit une première couche de peinture avant installation du jonc en caoutchouc destiné à protéger sa bordure comme l'atteste les traces de colle sur la peinture. La peinture employée est de couleur marron terre.
La bordure est protégée d'un jonc en caoutchouc de couleur noir. Ce jonc monobloc, dont la section en forme de "U" est collée sur la tranche du casque, voit sa jointure effectuée à l'arrière.
Le casque modèle 87 reçoit une dernière couche de peinture à l'extérieur uniquement après installation de l'aménagement intérieur (coiffe et jugulaire). Le jonc en caoutchouc est préalablement masqué à l'adhésif. La peinture est appliquée en gouttelette pour obtenir un aspect texturé afin de réduire les reflets du soleil.
Les casques modèle 87 destinés à l'export sont exempts d'étiquette du fabricant S.A.P.H.I (pty) Ltd.

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Instruction de réglage !

La coiffe :

Tête de vis.
Tête de vis.
Détails maintien de la suspension.
Détails maintien de la suspension.
Détails maintien de la suspension.
 
Plaques et écrous de maintien.
Plaques et écrous de maintien.
Suspension de type Riddel.
Suspension de type "Riddel".
Système de réglage en profondeur.
Système de réglage en profondeur.
Tampon amortisseur circulaire.
Tampon amortisseur circulaire.
Tampon amortisseur collé sur le couvre-nuque.
Tampon amortisseur collé sur le couvre-nuque.
Bandeau de tête, envers/revers.
Bandeau de tête, envers/revers.
Bandeau de tête, envers/revers.
Boucle de réglage.
Boucle de réglage.
Clip de maintien.
Clip de maintien.
Indication taille sous la suspension.
Indication taille sous la suspension.
Coiffe, vue d'ensemble.
Coiffe, vue d'ensemble.

La coiffe du casque modèle 87 est calquée sur celle du casque PASGT américain. Elle est constituée d'une suspension de type "Riddel" fabriquée à partir de bandes de toile de nylon de couleur brune large de 28 millimètres et dont les extrémités sont brulées pour éviter l'effilochement. La suspension est constituée d'un cerclage formé par une bande de toile en nylon jointive à l'arrière. Quatre bandes de toile forte en nylon sont cousues sur le cerclage, formant la suspension de la coiffe. Les bandes latérales, plus longues, sont pliées en "V" et chacune de leurs extrémités est cousue en biais au cerclage. La bande avant, dont l'extrémité est repliée et cousue sur elle-même pour former un fourreau de passage du lacet de réglage en profondeur, est cousue perpendiculairement au cerclage de la coiffe. La couture solidarisant le fourreau de cet élément de la suspension retient par ailleurs une petite étiquette blanche sur laquelle est imprimé en noire la taille de la coiffe. La bande arrière est fixée de manière similaire, hormis que son extrémité comporte deux trous renforcés d'un œillet métallique dans le fourreau destiné au passage du lacet de réglage de la coiffe.
Le dos de cette dernière comporte un rectangle de velcro velours destiné au réglage en profondeur de la coiffe. En effet, les bandes de toile sont jointives entre elle par un lacet passé à deux reprises dans chacune des parties constituant la suspension. Les extrémités de ce lacet sont passées dans les œillets de la bande de toile arrière de la suspension et sont jointives par un morceau de velcro astrakan, dont la position permet de plus ou moins tendre le lacet.
Les intersections du cerclage en toile de nylon et des bandes de toiles constituant la suspension sont trouées et les trous des intersections latérales sont ovalisés pour faciliter la mise en place de la suspension dans le casque.
La suspension est maintenue dans la bombe par des vis à tête hémisphérique fendue et des plaques de maintien métalliques peintes en noir, de forme triangulaire et placées pointe vers le haut. Ces plaques sont solidarisées par un écrou fabriqué en laiton de forme hémisphérique. Ces écrous sont fendus pour permettre leur pose à l'aide d'un tournevis plat. Pour rappel, la suspension est montée avant mise en peinture extérieure de la bombe, les têtes de vis se retrouvant ainsi noyée sous la peinture texturée du casque.
Le maintien sur la tête est assuré par un bandeau de tête. Il est fabriqué à partir d'une bande de toile de nylon de couleur brune large de 28 millimètres dont la longueur varie en fonction de la taille. Une des extrémités enchape une boucle métallique anodisée en noir pourvue de deux fentes pour la jointure et le réglage de la circonférence. La bande de toile de nylon est recouverte d'une bande de cuir tannée en brun (la couleur du cuir est d'ailleurs spécifique à ce modèle destiné à l'exportation) pour adoucir le contact avec la peau.

Des interstices sont effectués à intervalle régulier pour la mise en place des six clips métalliques de fixation. Ces clips sont fabriqués en laiton anodisé en noir et sont tous entièrement lisses.
La coiffe est complétée d'un patin en caoutchouc de forme circulaire d'un diamètre de 60 millimètres collé au fond de la bombe. Un autre de forme rectangulaire de dimension 2,5 x 13 centimètres est collé sur la bordure arrière du casque. Ce dernier patin présente ses côtés biseautés et comporte une échancrure pour permettre le rabattement de la boucle arrière de la jugulaire.

La jugulaire :

Jugulaire en toile avec mentonnière.
Jugulaire en toile avec mentonnière.
Mentonnière doublée de cuir, envers/revers.
Mentonnière doublée de cuir, envers/revers.
Mentonnière doublée de cuir, envers/revers.
 
Boucle coulissante de fermeture.
Boucle coulissante de fermeture.
Extrémité renforcée par un empiècement métallique.
Extrémité renforcée par un empiècement métallique.
Passant latéral.
Passant latéral.
Passant arrière.
Passant arrière.
Maintien latéral.
Maintien latéral.
Détails passage boucle.
Détails passage boucle.
Maintien arrière.
Maintien arrière.
Détails fermeture.
Détails fermeture.

La jugulaire est mise en place dans le casque à l'aide de trois boucles métalliques. Une première rectangulaire de dimension 15 x 25 millimètres est placée à l'arrière. Fabriquée en tige de laiton, elle est retenue par une plaque en laiton repliée sur elle-même enchapant sa longueur inférieure. Cette plaque est percée pour être maintenue dans le casque à l'aide d'une vis et d'un écrou.
Les deux passants latéraux sont constitués d'une boucle carrée de 25 millimètres de côté dans laquelle coulisse une barre autobloquante dentée à son sommet. Cette boucle est maintenue dans la bombe de manière similaire à la boucle arrière.
La jugulaire du casque modèle 87 destiné à l'export constitue la principale différence avec le modèle de la SADF. Cette jugulaire est calquée sur la jugulaire en toile "web" du casque HAST Mark II britannique (d'ailleurs reprise sur le casque modèle 83 fabriqué par la société S.A.P.H.I). La jugulaire est fabriquée à l'aide de deux bandes de toile forte de type "web" en coton de couleur marron gris, d'une largeur de 20 millimètres. Ces deux bandes se croisent sur une pièce de cuir tanné en brun jouant le rôle de mentonnière.
Trois extrémités sur quatre sont renforcées d'un empiècement métallique en laiton anodisé en noir dans le but d'éviter l'effilochement. La quatrième extrémité, positionnée au côté gauche de la jugulaire, possède une boucle rectangulaire à double fentes. De forme incurvée, cette boucle est aussi fabriquée en laiton anodisé en noir. Elle est destinée pour la fermeture de la jugulaire après passage dans la boucle arrière du casque.

Jugulaire, vue d'ensemble.
Jugulaire, vue d'ensemble.

Le camouflage additionnel :

Couvre-casque zone désertique.

Vue à plat, envers/revers.
Vue à plat, envers/revers.
Vue à plat, envers/revers.
 
Vue de côté.
Vue de côté.
Vue de face.
Vue de face.
Vue de dessus.
Vue de dessus.
Vue intérieure.
Vue intérieure.
Indication de taille.
Indication de taille.

Parallèlement à l'intervention de l'UDF au cours de la première guerre du Golfe, les EAU adoptent le schéma de camouflage "6-color, Desert" adopté en 1981 par les forces armées américaines pour leurs interventions en milieu désertique. Ce schéma de camouflage se compose de deux nuances de brun moyen sur de plus grandes surfaces de sable et de feu, parsemées de plus petites formes "rocheuses" en noir et blanc cassé. Le motif désert à six couleurs est aussi connu sous le nom "chocolate chip" (pépites de chocolat), en raison de la ressemblance des éléments noirs avec cet ingrédient employé dans la confection de biscuits.
Le casque modèle 87 semble avoir été exporté par l'Afrique du Sud directement avec un couvre-casque présentant ce schéma de camouflage. La constitution de ce modèle de couvre-casque typiquement sud-africain attestent en ce sens.
Ce couvre-casque est constitué de trois morceaux de toile de coton imprimé en "6-color, Desert" cousus longitudinalement et dont le sommet est pincé afin de mieux épouser la forme arrondie du casque.
La base du couvre-casque est repliée sur elle-même afin de former un ourlet dans lequel est inséré un lacet tubulaire en fibre de nylon destiné à assurer le maintien.
Ce couvre-casque comporte une bande de toile de nylon de teinte proche du couvre-casque. Cette bande de toile jointive à l'avant est solidarisée au couvre-casque par des traits de couture parallèles pratiqués à intervalle régulier. Elle est destinée à retenir des branchages pour améliorer le camouflage.
Ce couvre-casque est fabriqué en trois tailles afin d'être au mieux ajusté aux différentes tailles de bombes. La taille est indiquée sur une petite étiquette de couleur blanche imprimée en rouge et solidarisée par la couture d'assemblage des pans de toile.

Couvre-casque zone tempérée.


Lors de l'intervention de l'UDF au sein de la KFOR au Kosovo au cours des années 1990, les EAU s'équipent auprès de la France pour obtenir des uniformes adaptés à un environnement tempéré. L'UDF obtient alors des uniformes de confection française arborant le schéma de camouflage "centre-Europe". Le camouflage "centre-Europe" (CE) est dérivé du schéma de camouflage "Woodland" américain. Il est constitué de larges taches de couleur verte, brune et noir sur fond vert olive clair.
Ainsi, on observe l'utilisation de couvre-casques par les soldats émiratis confectionnés avec de la toile imprimée en camouflage "centre-Europe". Ces couvre-casques sont confectionnés de manière similaire au couvre-casque pour environnement désertique. Ils sont démunis de bande de toile parcourant la périphérie et le maintien est assuré par une base élastique. Ce modèle de couvre-casque est probablement de confection française.

Vue de côté.
Vue de côté.
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